
Once Upon A Hit | Super Discount – « Smile »
Once Upon a Hit, la série qui vous plonge au cœur de l’histoire des plus grands hits de la musique électronique française
La « French Touch » fête ses 25 ans en 2025 et la musique électronique française continue avec panache de faire tourner les têtes et d’agiter les pistes de danse de la planète. Après une année marquée par le succès des cérémonies des Jeux Olympiques qui ont fait la part belle aux artistes électro français, après les récompenses reçues par le documentaire consacré au producteur DJ Mehdi et l’avènement d’une nouvelle génération (Irène Drésel, Rone, Kompromat), c’est au tour de What the France, la marque de recommandation du Centre national de la musique, et Clubbing TV, la chaîne HDTV de référence sur la musique électronique, de vous proposer la première saison de Once Upon A Hit, une série en 6 épisodes, qui vous fera découvrir les secrets de fabrication de quelques-uns des titres cultes de la musique électronique « Made in France ».
Épisode 4 : Super Discount – « Smile »
Avec « Smile », Étienne de Crécy signe en 2015 l’un des titres phares de Super Discount 3, troisième volet d’un projet emblématique de la French touch. What the France explore l’histoire de ce morceau culte dans la quatrième capsule de la série Once Upon A Hit. C’est au lycée à Versailles, que notre artiste rencontre Alex Gopher, avec qui il développe un son entre house et électro groovy. Trente ans plus tard, les deux amis reviennent à l’essence de ce qui a fait leur marque de fabrique : de l’échantillonnage, la TB-303 d’Étienne et surtout du plaisir.
Étienne pousse l’expérience plus loin et invite le rappeur américain Asher Roth à poser sa voix sur une version alternative dotée d’un tempo house à 120 BPM, pas idéal pour rapper ? Pas grave. En deux heures, Asher pond la mélodie et les paroles. Une seule prise rapide, spontanée, presque accidentelle – et c’est ce qui fonctionne. Étienne, fan de voix et de basses mélodiques, tient là une version plus pop, plus solaire, sans perdre la magie de l’original.
Pour le clip, il imagine un plan-séquence dans un embouteillage où tout le monde écoute « Smile » en boucle. Impossible à tourner à Paris : trop cher. Direction Los Angeles, où c’est quatre fois moins coûteux et tout aussi spectaculaire. Dans ce joyeux chaos, la musique devient un lien entre des inconnus. Une image simple, mais puissante : celle d’un son fédérateur, qui transforme l’attente en fête.
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